Après Garmeh je prends la direction de yazd, cinq heures de bus plus au sud. Cette ville est très connue pour plusieurs choses. Tout d’abord pour sa vieille ville, qui est une des plus anciennes de la planète, selon l’Unesco. Cette vieille ville qui prend des allures de labyrinthe est constituée de plus de 2000 maisons fabriquées en briques de terre séchées par le soleil.
Le résultat est un immense horizon fait de maisons marron sur lesquelles sont construits les badgirs, qui trônent sur quasiment tous les toits de la vielle ville. Les badgirs sont un ingénieux système naturel de ventilation des maisons. Ils sont disposés sur le toit de ces dernières et captent la plus légère des brises pour l’acheminer directement vers les pièces de la maison. On peut trouver trois types de badgirs : les Ardakini, qui capturent le vent à partir d’une seule direction seulement ; les Kermani, qui capturent le vent à partir de deux directions ; et les Yazdi, qui fonctionnent avec quatre directions. On peut aussi en trouver qui amènent le vent depuis huit directions différentes !
La ville est aussi connue pour ses qanat, des tunnels souterrains qui alimentent la ville en eau. Après avoir atterri dans je ne sais quelle gare routière je prends la direction de l’hôtel. Comme je n’ai encore aucune notion des distances par rapport à ce que je vois sur le plan je me dit arf c’est pas très loin, j’y vais à pied. Raté j’ai marché au moins une bonne heure avec mes 15 kg sur le dos, en plus il a commencé à pleuvoir, je commence à être trempée, j’ai trop faim…
Le seul truc qui me redonne le sourire c’est lorsque je croise plusieurs iranien(nes) qui me disent Welcome to Iran quand ils me croisent dans la rue, avec un grand sourire. J’ai beau faire fonctionner à fond ma mémoire de poisson rouge, je ne me rappelle pas qu’un seul habitant dans un autre pays m’ai souhaité la bienvenue dans la rue, comme ça, en deux ans de voyage. Là en l’espace d’une heure y en a au moins cinq qui me l’ont dit ! De quoi faire la peau encore à l’image qu’on a des iraniens… Ça vous est arrivé souvent à vous qu’on vous souhaite la bienvenue dans la rue lors d’un voyage? Moi jamais, mais peut être que je fais peur ou quoi.
Bref j’arrive à l’hôtel, je trouve un lit dans un dortoir vraiment pas cher, c’est cool. Ensuite je vais visiter la ville. Et je dois dire que je n’ai pas du tout accroché. Oui c’est sur c’est mimi ces petites maisons en terre séchées, mais bon sans plus. Et puis le temps est très maussade, il fait gris, je suis malade…
Et puis les trucs à aller visiter sont hors de prix par rapport au coût de la vie. Genre pour visiter un truc qu’il y a marqué dans le lonely planet, il faut débourser 100000 rial. Le dortoir je le paie 150000 rial, un repas 100000 rial. C’est vraiment cher en Iran les trucs à visiter (pas si on convertit en euro, c’est sur ça fait 3 euros mais sur un budget de 15 euros par jour c’est énorme), donc du coup je ne visite pas tant que ça, je préfère me balader et me laisser vivre. Je finis quand même par aller visiter une maison traditionnelle, qui est immanquable selon le lonely planet. Bon beh ca cassait pas trois pattes à un canard, j’ai dépensé 100000 pour rien super ! La vielle ville est vraiment un labyrinthe, je me suis perdue plusieurs fois, souvent j’étais sur de moi mais je retombais à chaque fois sur le même endroit…. Arrrghhhh !
Le résultat est un immense horizon fait de maisons marron sur lesquelles sont construits les badgirs, qui trônent sur quasiment tous les toits de la vielle ville. Les badgirs sont un ingénieux système naturel de ventilation des maisons. Ils sont disposés sur le toit de ces dernières et captent la plus légère des brises pour l’acheminer directement vers les pièces de la maison. On peut trouver trois types de badgirs : les Ardakini, qui capturent le vent à partir d’une seule direction seulement ; les Kermani, qui capturent le vent à partir de deux directions ; et les Yazdi, qui fonctionnent avec quatre directions. On peut aussi en trouver qui amènent le vent depuis huit directions différentes !
La ville est aussi connue pour ses qanat, des tunnels souterrains qui alimentent la ville en eau. Après avoir atterri dans je ne sais quelle gare routière je prends la direction de l’hôtel. Comme je n’ai encore aucune notion des distances par rapport à ce que je vois sur le plan je me dit arf c’est pas très loin, j’y vais à pied. Raté j’ai marché au moins une bonne heure avec mes 15 kg sur le dos, en plus il a commencé à pleuvoir, je commence à être trempée, j’ai trop faim…
Le seul truc qui me redonne le sourire c’est lorsque je croise plusieurs iranien(nes) qui me disent Welcome to Iran quand ils me croisent dans la rue, avec un grand sourire. J’ai beau faire fonctionner à fond ma mémoire de poisson rouge, je ne me rappelle pas qu’un seul habitant dans un autre pays m’ai souhaité la bienvenue dans la rue, comme ça, en deux ans de voyage. Là en l’espace d’une heure y en a au moins cinq qui me l’ont dit ! De quoi faire la peau encore à l’image qu’on a des iraniens… Ça vous est arrivé souvent à vous qu’on vous souhaite la bienvenue dans la rue lors d’un voyage? Moi jamais, mais peut être que je fais peur ou quoi.
Bref j’arrive à l’hôtel, je trouve un lit dans un dortoir vraiment pas cher, c’est cool. Ensuite je vais visiter la ville. Et je dois dire que je n’ai pas du tout accroché. Oui c’est sur c’est mimi ces petites maisons en terre séchées, mais bon sans plus. Et puis le temps est très maussade, il fait gris, je suis malade…
Et puis les trucs à aller visiter sont hors de prix par rapport au coût de la vie. Genre pour visiter un truc qu’il y a marqué dans le lonely planet, il faut débourser 100000 rial. Le dortoir je le paie 150000 rial, un repas 100000 rial. C’est vraiment cher en Iran les trucs à visiter (pas si on convertit en euro, c’est sur ça fait 3 euros mais sur un budget de 15 euros par jour c’est énorme), donc du coup je ne visite pas tant que ça, je préfère me balader et me laisser vivre. Je finis quand même par aller visiter une maison traditionnelle, qui est immanquable selon le lonely planet. Bon beh ca cassait pas trois pattes à un canard, j’ai dépensé 100000 pour rien super ! La vielle ville est vraiment un labyrinthe, je me suis perdue plusieurs fois, souvent j’étais sur de moi mais je retombais à chaque fois sur le même endroit…. Arrrghhhh !



